La famille de l'athlétisme mondial, représentée par la Confédération africaine et l'IAAF, avait exprimé sa volonté de confier au Maroc l'organisation de la Coupe du monde, qui porte désormais le nom de la Coupe continentale depuis l'édition de 2010 à Split (Croatie), et qui fut la deuxième grande compétition de l'IAAF après les Mondiaux de cross-country. Rabat avait déjà abrité le Cross des Nations en 1966, remporté par le Marocain Ghazi Zaaraoui (Ben Assou) et les Mondiaux de cros-country en 1974.
Quant à Marrakech, elle a déjà accueilli le championnat du monde de cross-country en 1998, une des éditions les plus réussies dans les annales de ces joutes ainsi que les Mondiaux cadets en 2005.
Marrakech est la deuxième ville africaine à abriter la Coupe Continentale après Johannesburg en Afrique du Sud en 1998.
le Maroc était candidat unique à cette organisation. Le choix de l'IAAF montre la confiance de l'instance mondiale en la capacité du pays à organiser des manifestations d'envergure internationale.

Rappelons que le Maroc organise la rencontre d'athlétisme la plus importante en Afrique, à savoir Meeting international Mohammed IV.
La Coupe Continentale d'athlétisme, appelée avant Coupe du monde d'athlétisme, aura lieu au Grand stade de Marrakech, inauguré le 5 janvier dernier (45 000 places) et doté d'une piste d'athlétisme de haut niveau qui répond aux normes internationales.
Signalons, également, que la ville de Londres a décroché l'organisation des Championnats du Monde d'athlétisme en  2017.