On voit de plus en plus fleurir une multiplicité de mensonges relatifs à la cigarette électronique. Ce qui provient indubitablement de la jouvence de ce produit. De toutes ces fausses idées nous en avons coopté une dizaine que nous vous soumettons dans les sections suivantes.
Fable 1 : la cigarette électronique correspond à un péril en direction des enfants.

Ce mythe découle de l'illusion selon laquelle les enfants seraient naturellement attirés par les gadgets électroniques et, qu'il leur est en surplus, volontiers possible de s'acheter des clopes électroniques via internet. Beaucoup d'enquêtes ont illustré que ces assertions étaient intégralement gratuites. En réalité, même si la cigarette électronique est acquérable à satiété en ligne, il demeure cependant tout aussi vrai que pour en acquérir il faut détenir une carte bleu.
Par surcroît, le coût d'achat usuel de l'ecigarette (même s'il reste profitable sur la durée), reste pourtant relativement ruineux pour le jeune moyen. De surcroît les ados ont tendance à regarder la clope électronique comme une combine que les séniors employaient dans le but d'arrêter la fumette. Ce qui logiquement est en totale contradiction avec les motivations qui instiguent les jeunes à fumer. En réalité, D'habitude, les deux paramètres les plus importants qui les poussent à fumer sont d'une part le désir de la rébellion et la tentation du danger. Dans les faits, diverses recherches ont divulgué que la grande majorité des adeptes de l'ecigarette se trouvent dans la tranche d'âge quarante-cinquante ans.
Fable 2 : Les e clopes sont de toute façon cancérogènes et dangereuses à l'égard de la santé que les clopes traditionnelles.

Début Juin 2013, une trouble étude de la publication 60 millions de consommateurs, se posant à rebours de quasi intégralité des études préexistantes, a déclenché un colossal buzz, en prônant " l'ecigarette pouvait émettre des composés qui en quantité suffisante sont potentiellement cancérogènes". D'une optique méthodologique, cette proposition a occasionné beaucoup de controverses. Et pour cause elle reste relativement peu précise principalement au niveau du collectage et du maniement des données. En outre les molécules ciblés (l’acétaldéhyde, l'aldéhyde formique et l’acroléine) sont par ailleurs présentes dans la cigarette conventionnelle à des doses beaucoup plus préjudiciables. Et au demeurant le mandataire de l'étude en discussion, Thomas Laurenceau a fini de consentir que « Oui, oui, mille fois oui, il vaut mieux vapoter que fumer une cigarette ».

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